Elvanio José Lopes Mozelli Filho, Raiany Resende Moura, Ismael Nacarati Silva, Michele Gabriel Camilo, Danielle Ferreira Baffa, Elon Souza Aniceto, Marcelo Teixeira Rodrigues, Alberto Magno Fernandes et Tadeu Silva de Oliveira
Cette étude visait à évaluer la relation entre le poids corporel et le score d'état corporel avec les changements dans les réserves de protéines et de graisses chez les chèvres pendant le bilan énergétique négatif. Vingt-quatre chèvres ont été réparties selon un plan complètement randomisé, avec quatre scores d'état corporel (BCS) différents : 3,5, 3,0, 2,5 et 2,0. Cinq évaluateurs expérimentés ont évalué le BCS en palpant deux mesures (région lombaire et sternale). Le poids des animaux a été déterminé tous les sept jours pour vérifier la perte ou le gain de poids. Les chèvres ont été abattues pour évaluer la teneur en graisse corporelle et en protéines. Le BCS n'a pas affecté (p>0,05) les performances des chèvres. Le BCS a montré une précision inférieure (R2 0,34) pour estimer la teneur en protéines des composants non carcasse par rapport à la carcasse (R2 0,61). Français Les valeurs R2 étaient meilleures pour la graisse dans la carcasse, le corps vide et hors carcasse, affichant des valeurs de 0,77, 0,75 et 0,72, respectivement, le BCS s'est avéré être un bon prédicteur. Le poids corporel s'est avéré être un bon prédicteur pour estimer les protéines dans la carcasse (R2 = 0,88), le corps vide (R2 = 0,86) et hors carcasse (R2 = 0,99). Par conséquent, le BCS et le poids corporel se sont avérés être de bons estimateurs des réserves de graisse corporelle chez les chèvres au début de la lactation. Le poids corporel s'est avéré plus précis que le BCS pour déterminer les protéines corporelles. Le BCS et le poids corporel sont des outils très importants et rapides pour évaluer les plans nutritionnels mis en œuvre dans le système de production, contribuant à augmenter l'efficacité de la production laitière et la récupération de l'état corporel des animaux après le bilan énergétique négatif.